Étant donné que vous avez beaucoup aimé le premier témoignage de Fernand, suite à son écoute de mon interview radio du 3 août, en voici un autre.
Fernand allait voir sa fille à l’hôpital n’importe quand. Aussi, en plein milieu de la nuit, le personnel, le laisser entrer et aller auprès de sa fille.
Lorsque Nicole était malade, beaucoup de gens sont venus la voir pour lui dire, en autre, que quand elle serait morte, elle serait apaisée… Cela était très douloureux à entendre pour Nicole!
Fernand a un jour dit à sa fille :
– « Tant que tu es vivante, tu es vivante ! Ne laisse pas les autres te dire autrement! »
À la suite du commentaire de son père, Nicole a été très active.
Elle a, entre autre, confectionné de nombreuses cartes que Fernand garde comme un trésor !
Cette phrase de Fernand est juste magnifique, parfaite et tellement importante!
Du temps de Rémi, j’ai moi-même dû beaucoup lutter pour que les gens ne l’en terre pas avant qu’il soit mort !
Il ne faut JAMAIS condamner quelqu’un. Peu importe les pronostiques d’une maladie. Son espérance de vie etc. Cette condamnation fait beaucoup plus de dégâts à la personne que sa maladie elle-même !
L’exemple de Fernand, Nicole et Rémi montre bien, qu’avec de l’espoir et de l’amour,
la vie des êtres est rallongée et de bien meilleure qualité. Peu importe sa finalité.